Maudis sois-tu


J'ai toujours pensé qu'avec moi tu te plaisais
Qu'il y avait de la sincérité quand tu me souriais
Que te comblait cet amour que pour toi je ressentais
Et que ton monde c'était moi, car mon monde c'était toi
Comment pouvais-je imaginer que tu allais te livrer
Dans ces bras que toujours tu m'as juré amitié

Quelle idiote j'ai été, comment n'ai-je pu discerner
Que tu pouvais te moquer de ma façon de t'aimer
Et que tes baisers de miel étaient chargés de fiel
Que tu pouvais mentir de cette façon cruelle
Et rejeter un amour comme l'on jette un papier
Là où je suis le clown sans savoir ce que fais

Je veux pleurer et ne plus me rappeler
Si l'on disait du mal de toi, j'étais capable de tuer
Mon homme était fidèle, mon grand ami, c'était lui
Car il n'y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir
J'étais folle de toi et tu te moquais de moi
Et je ressens encore dans mes entrailles le choc que j'ai souffert

Tu as simplement méprisé tout l'amour que je t'ai donné
Et constamment tu rias et faisais semblant de m'aimer

Maudis sois-tu




01/12/2009
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