Sur terres de nulle part  



Sur les terres de nulle part, dans les grandes avenues du monde, toutes les âmes chantent Noël, tous les vents inspirent la joie. Le monde s'arrête au son des cloches de Noël. Mais les âmes n'alimentent pas la vie qui se renouvelle et la vie s'éloigne comme si rien n'était, sinon une fête, à peine une fête. Qu'est-ce donc Noël ? L'allégresse de la fête ? Ou la naissance du Christ ?

L'indécision ne semble pas, semble-t-il, changer le contraste des nuages et les colorer partout en ton de jardin, mais rester sur le goût des diversifications que nous frôlons et ne touchons pas. L'enfant qui verse une larme et nous ne nous arrêtons pas, ce qui était autrefois le début, est aujourd'hui fin.

Selon l'histoire, Jésus est le fils, frère et emblème de l'amour du prochain, c'est la raison pour laquelle nous célébrons, année après année, les fêtes de Noël.

Si Jésus est l'emblème de l'amour du prochain, pourquoi ne pas fêter Noël comme le jour de l'amour du prochain ? N'aurait-il pas plus de gens qui auraient un véritable sourire de joie à Noël ? Imaginez un Noël avec le sourire sur touts les visages du monde entier.

Imaginer le sourire dans nos rêves, ne pas penser que le sourire demeure dans nos réalisations, c'est concevoir que le monde jamais sourira dans le présent. Le mieux c'est de faire sourire quelqu'un maintenant, dans la contagion de la joie, nous sourirons aussi.

Ainsi, jusqu'à la fin, à Noël nos tasses enivreront de gaité. Les souvenirs dans le havresac du Père Noël existeront pour tous les peuples, le repas de Noël se multipliera sur toutes les tables et la fête de Noël sera celle que nous recherchons dans le mot MEILLEUR.



21/12/2008
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